La semaine dernière, deux agressions de supporters ont été recensées en Grèce. L’une à Athènes, la capitale, et l’autre à Thessalonique, chef-lieu de la Macédoine-Centrale, dans le nord-est du pays, des chiffres correspondants à la moyenne observée depuis quelques mois. La violence a fui les stades hellènes pour se répandre sur la voie publique, où les locaux se sont accoutumés à la situation.