PORTRAIT - Dans Un papa vivant, la comédienne, également musicienne, évoque l’histoire d’un petit garçon qui a perdu son père. Un ouvrage qui entre en résonance avec sa propre histoire. Le rendez-vous était fixé au Hibou, un café de Saint-Germain-des-Prés. Alice Taglioni est arrivée à vélo, après avoir déposé ses enfants à l’école. L’actrice n’a pas choisi cet endroit au hasard. C’est le QG de son premier roman, Un papa vivant (Robert Laffont). À l’étage ou en terrasse, elle venait tous les jours coucher sur le papier cette «histoire d’une jeune femme d’une trentaine d’années, ordinaire, que les événements tragiques de la vie ont rendu extraordinaire». Son compagnon, décédé dans un accident de ski, la laisse seule avec un bébé de 8 mois. À quelques jours de ses 7 ans, son enfant lui demande «un papa vivant». Manière de lui faire comprendre, derrière ce désir d’avoir un père, comme ses copains, qu’elle peut tourner la page: «Son petit garçon la force à ouvrir les yeux et à changer. Il va la réveiller.» Toute ressemblance avec des personnages existants n’est pas fortuite dans ce roman. Il entre en résonance avec la vie d’Alice Taglioni: après le décès de son compagnon Jocelyn…
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 85% à découvrir.
Déjà abonné ?
Connectez-vous
Il n’y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !
LE FIGARO LIVE – En cette fin d’année 2023, Le Figaro s’est livré à un exercice ludique : classer les chanteurs français. Les débats promettent d’être animés.
DÉCRYPTAGE – Demande de restitution des biens jugée «abusive», héritage légal, dons à la BnF… La prochaine audience devant la justice est fixée le 17 janvier prochain.
L’acteur de 74 ans, contre lequel deux plaintes ont été déposées, aurait décidé de s’installer à Mont-Saint-Aubert selon le média belge Sudinfo.