Onibi rapatrie sa production de canettes en Abitibi

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Onibi rapatrie sa production de canettes en Abitibi

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Le respect de votre vie privée est important pour nous. Si vous n’êtes pas à l’aise avec l’utilisation de ces informations,
veuillez revoir vos paramètres avant de poursuivre votre visite.Gérer vos témoins de navigationEn savoir plus Francis Provencher, président et chef de la direction de Liqueurs La Sarre, devant la ligne de production de la nouvelle usine à Amos. Depuis ce printemps, l’entreprise met son eau plate et ses eaux pétillantes en canettes dans une nouvelle usine de près de 4 millions de dollars, à Amos. L’usine peut embouteiller jusqu’à 35 000 canettes par jour. Lancées il y a moins d’un an, ces canettes étaient produites par un partenaire au Saguenay/Lac-Saint-Jean. Il s’agissait surtout d’un test de marché pour l’entreprise régionale. Il fallait ramener la production dans la région. Transporter l’eau en vrac de notre source sur l’esker au nord de Villebois, dans le canton Laberge, vers La Sarre, puis de la transporter au Saguenay/Lac-Saint-Jean pour faire les canettes, ramener les canettes ici… on voit rapidement l’effet sur les coûts de production. Au niveau des gaz à effet de serre et de l’empreinte environnementale, ce n’était pas bon non plus. Et pour nous, c’est important, mentionne M. Provencher Un contrat avec Sobeys pour approvisionner les supermarchés IGA du Québec a permis à l’entreprise d’aller de l’avant avec son projet qui vient créer quatre emplois à Amos. Une fois scellées, les canettes sont réchauffées pour limiter la condensation, puis dirigées vers un équipement automatisé qui les met dans des boîtes de carton. L’eau est donc transportée de la source jusqu’à La Sarre, puis vers Amos, avec l’aide d’une citerne de 40 000 litres tirée par un camion électrique. À l’usine d’Amos, pratiquement toute la production est automatisée. Les canettes arrivent vides. Elles entrent à l’intérieur, sont rincées une par une, puis elles vont se diriger vers l’embouteilleuse. C’est une machine canadienne produite à Calgary par la compagnie Cask. Elle peut embouteiller jusqu’à 85 canettes à la minute. Aujourd’hui, on fait de l’eau pétillante à la lime. Donc, on a mis notre saveur, on a mis l’eau de source et elle sera carbonatée juste avant d’être mise en canette, précise Francis Provencher lors d’une visite de l’usine. Les produits en canettes Onibi de Liqueurs La Sarre sont expédiés dans la région, mais aussi dans les supermarchés IGA du Québec. Une fois que le couvercle est scellé, les canettes sont légèrement réchauffées pour éviter que la condensation n’abîme les boîtes en carton. Tout se fait automatiquement, de façon sécuritaire. C’est vraiment une belle machine. L’emboîteuse a une capacité plus grande que la ligne de production. Si on ajoutait une deuxième ligne de production, elle serait encore capable de fournir, souligne Francis Provencher. Les caisses sont ensuite empilées à la main sur des palettes par un employé. L’entreprise compte éventuellement automatiser cette dernière étape. Un employé doit empiler les boîtes de canettes sur des palettes. L’entreprise souhaite automatiser éventuellement cette dernière étape. L’entreprise régionale investit aussi près de 2 millions de dollars dans ses installations de La Sarre, où elle embouteille des contenants d’eau de source de 18 litres pour les refroidisseurs. On a tellement augmenté les ventes qu’il fallait agrandir. Parce que pour servir un client, il faut stocker une bouteille vide et une bouteille pleine. L’agrandissement va aussi nous permettre d’être plus efficaces. Nous serons prêts à doubler encore la production. On vient de le faire dans les deux dernières années et là, on va doubler encore avec cet agrandissement, fait valoir Francis Provencher. Vous aimeriez en savoir plus sur le travail de journaliste?Consultez nos normes et pratiques journalistiques (Nouvelle fenêtre) Le pilote de l’avion de combat de quelque 80 millions $ US s’était éjecté dimanche pour une raison inconnue. Le leader sikh Hardeep Singh Nijjar a été tué par balles dans le stationnement du temple sikh qu’il dirigeait. Il s’agit de la cinquième enquête pour meurtre à Québec depuis le début de l’année. La Russie a revendiqué la prise de Bakhmout en mai après dix mois de combats sanglants. Le leader sikh Hardeep Singh Nijjar a été tué par balles dans le stationnement du temple sikh qu’il dirigeait. Le pilote de l’avion de combat de quelque 80 millions $ US s’était éjecté dimanche pour une raison inconnue.

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