
Lorànt Deutsch viré pour avoir refusé de suivre un traitement : sa carrière aurait pu être très différente






Ce lundi 1er juillet, face au foot dans le cadre de l’Euro ou à des décryptages politiques suite au premier tour des élections législatives, France 3 propose un peu de légèreté avec la comédie Un village presque parfait, réalisée par Stéphane Meunier et sortie en salles en 2014. En têtes d’affiche, on y retrouve Didier Bourdon et Lorànt Deutsch. Ce dernier a depuis largement tourné le dos à sa carrière d’acteur pour se consacrer à d’autres projets, dont l’écriture de livres mais aussi son émission avec Stéphane Bern Laissez-vous guider ou encore et surtout à ses trois enfants. Qui plus est, il explique en interview pour Télé Magazine (édition du 21 mai 2024) être aujourd’hui déçu par le milieu du cinéma. « J’ai le sentiment d’avoir fait mon temps comme acteur« , estime-t-il.
Lorànt Deutsch compte tout de même derrière lui quelques films cultes comme Le Raid, 3 Zéros, ou encore Le ciel, les oiseaux et ta mère ! Le comédien et féru d’histoire souhaitait pourtant au départ se lancer dans une toute autre carrière : celle de footballeur. Il a même été recruté dans le cadre d’un sport-études au FC Nantes lorsqu’il était plus jeune. Malheureusement, « (sa) taille et (sa) chétivité lui jouent des tours« . « Car pour encaisser l’entraînement, mieux vaut avoir une musculature bien formée« , souligne-t-il pour nos confrères. Et d’ajouter : « Alors, pour booster ma puberté et rester dans le club, le FC Nantes me suggère un traitement d’hormones de croissance et m’adresse à un spécialiste de l’hôpital Cochin« . Toutefois, il n’ira jamais jusqu’au bout du projet. « Mais surprise, le type me déconseille vivement de faire un tel truc ! Donc, le club m’a viré. Et ça m’a mis un bon coup dans la tronche« , s’est-il souvenu.
De là, il rencontre une fille qui lui plaît et qui le décide à suivre des cours de théâtre. « Je l’ai accompagnée et j’ai découvert un univers qui me plaisait, même si je préférais l’impro aux textes classiques« , a-t-il confié.
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