Le film « A mon seul désir » : une histoire de strip-tease
Le film « A mon seul désir » raconte l’histoire d’une femme qui décide de quitter son travail pour se mettre à danser dans un club de strip-tease. Cette histoire a été inspirée par la vie de Zita Hanrot, l’une des actrices principales du film. Elle a avoué avoir fréquenté des clubs de strip-tease pendant une période de sa vie où elle était dévastée par le manque d’amour.
Dans cet article, Jonathan Cohen, l’animateur de l’émission « La Flamme » sur Canal+, raconte son expérience dans les clubs de strip-tease. Il explique que ces endroits lui ont permis de parler avec des femmes qui l’écoutaient, comme chez un psy. Il précise également que dans son club en Suisse, la loi permettait de coucher avec les danseuses, mais que cela coûtait très cher.
Des danseuses devenues des amies
Jonathan Cohen n’aime pas utiliser le mot « pute » pour parler des danseuses, car elles l’ont tellement aidé qu’elles sont devenues ses amies. Il raconte qu’il allait tellement souvent dans son club qu’il était le seul autorisé à danser sur la barre. Il avait même une autre identité, « Jonathan », qui était très appréciée des autres danseuses.
Malgré les préjugés sur les clubs de strip-tease, Jonathan Cohen a trouvé un certain réconfort dans ces endroits. Il conclut en disant que les danseuses sont des personnes comme les autres, qui ont des histoires et des rêves, et qu’il ne faut pas les juger.
Conclusion
Le film « A mon seul désir » aborde un sujet souvent tabou : le strip-tease. Il montre que derrière les stéréotypes se cachent des femmes avec des histoires et des rêves. L’expérience de Jonathan Cohen dans les clubs de strip-tease montre également que ces endroits peuvent être des lieux de réconfort pour certaines personnes. Il est important de ne pas juger les danseuses et de les considérer comme des êtres humains à part entière.
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