Costumes, motos, guitares… Après Bruxelles, l’exposition hommage à Johnny Hallyday ouvre ce vendredi à Paris, au parc des expositions de la Porte de Versailles. Nous l’avons visitée en avant-première avec Læticia Hallyday. Pour Ouest-France, elle revient sur les origines et les coulisses de ce projet faramineux. Elle arpente, fière, le sourire aux lèvres, les couloirs de sa création, entre costumes de scène, Harley-Davidson et vinyles de l’idole des jeunes. Læticia Hallyday en avait longtemps rêvé, c’est désormais une réalité. « Accompagnée d’une incroyable équipe, mêlant ancienne et nouvelle génération », elle a imaginé et conçu l’exposition de 3 000 m2, où sont présentées les reliques de Johnny Hallyday, saint de la communauté rock’n’roll en France. Après Bruxelles, c’est le parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris, qui accueille ce « lieu de pèlerinage ambulant » pour les six prochains mois. Nous l’avons visité en avant-première, en compagnie de celle qui a passé vingt-trois années au côté du chanteur. Pour Ouest-France, elle s’est confiée sur ce projet, né il y a quelques années, « avant même son décès ». Vous aviez rêvé ce projet, le voilà sous nos yeux. Comment êtes-vous passée de ce désir à la réalité ? En 2015, Johnny et moi avons visité l’exposition consacrée à David Bowie. Nous avons été très touchés, car en tant que fans, c’était un joli voyage dans la vie de l’artiste. Alors, quand mon mari est parti, j’ai imaginé ce projet, comme une étape du deuil et ça m’a beaucoup aidé. Le chemin a été long – près de trois…
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