Claire Chazal sobre en noir pour les obsèques d’un célèbre danseur, un moment plein d’émotion

C’est tout en discrétion et sobriété que la célèbre journaliste française Claire Chazal, ancienne présentatrice historique du journal télévisé de la chaîne TF1, est apparue en public le vendredi 24 décembre. Il faut avouer que le moment était pour le moins grave puisqu’il s’agissait des obsèques d’un célèbre danseur français récemment décédé.

En effet, Michaël Denard, ancien danseur étoile de l’Opéra de Paris, est décédé le 17 février. Après des mois de lutte contre la maladie, il a finalement succombé à un terrible cancer généralisé à l’âge de 78 ans. Triste nouvelle qui a frappé le monde de la danse, mais aussi de nombreuses personnalités du show business. A commencer par Sheila, puisque la chanteuse lui a rendu un vibrant hommage en annonçant sa disparition.

« Je viens d’apprendre la très triste nouvelleelle a écrit il y a quelques jours.Michael était là pour moi dans les moments importants. Il danse avec les plus grands et brille par sa présence dans les ballets classiques et contemporains les plus célèbres. J’ai eu la chance de travailler avec lui et de bénéficier de sa grande classe et de son talent lors de mon spectacle de Formule 1 avec Maritie et Gilbert Carpentier en 1984. Nous avons dansé ensemble pendant des semaines et son charme n’a jamais changé.», a-t-on pu lire.

Une vue de l’Opéra de Paris

Ses obsèques ont donc eu lieu vendredi dernier en l’église Saint-Roch à Paris. Une cérémonie particulièrement marquée par la présence de Claire Chazal, toute de noir vêtue et l’air sérieux lors de ce moment chargé d’émotion, comme en témoignent les photos de notre diaporama. étaient également présents Jean-Michel Casadesus, Jean François Brégy, Georges-François Hirsch, ou encore FRançois-Marie Banier.

Michaël Denard est né à Dresde le 5 novembre 1944, fils d’un père français et d’une mère allemande. Après avoir commencé la danse classique très tardivement, à 18 ans, il se forme à Tarbes avant d’être reçu en 1963 dans le corps de ballet du Capitole de Toulouse, puis celui de l’Opéra de Nancy. Il avait ensuite connu une ascension fulgurante lorsqu’il fut accepté sur audition au Ballet de l’Opéra de Paris en 1966, où il avait gravi trois marches en à peine trois ans.